La peur
- KRAV MAGA
- 31 mars 2020
- 3 min de lecture
La self défense ne doit pas être réduit à un travail technique ,c’est d’abord une affaire de bon sens . c’est ce dernier me permet d’éviter et de me retrouver dans de mauvaise posture .
Je suis face à 10 individu qui arrive à un contrôle en groupe de manière spontanée ma gestion ne sera pas la même si j’en ai 2 le bon sens me dit directement que je suis en position de faiblesse face à 10/ 1 ,j’au beau à être en parfaite condition physique et préparer au combat corps a corps, je n’ai absolument aucune chance de ,sans hésitation
Le b.a.-ba de la self défense c’est de donner de la valeur a ce que l’on possède et savoir jusque a quel point on est près a aller pour ne pas le céder
,il vaut mieux le savoir avent de commencer a le défendre et de regretter les actions qui vont suivre .
Il faut savoir abandonner contrôler son ego ,les renforts ne sont pas là ou bloqué ,la police n’est pas la avent plus de 30 min . notre vie vaut plus que quelque euro ou notre orgueilleux.
Il vaut mieux s’en aller la tête basse que les pieds devant
« jacques audiar »
La peur est une émotion nature, chez l’hommes comme cher l’animale
L’adrénaline diffuse dans le sang qui procure cette sensation bizarre , c’est une hormone qui nous aide à mieux fuir ou à mieux combattre.
Il faut considérer la peur comme une émotion positive elle est votre allier qui vous rend puissant. La fuita face à une agression ou un danger est une réaction normale c’est un réflexe naturelle de l’être humain
Ex : Soudain, au détour d’un chemin, nous nous trouvons face à un animal dangereux. Aussitôt, nous nous figeons, notre cœur bat à tout rompre et notre respiration s’arrête. Puis nous évaluons la situation, afin de décider comment agir au mieux: fuir, affronter l’adversaire, ou nous cacher en espérant qu’il ne nous repérera pas.
Dans « Décrire la peur », vous avez découvert le vocabulaire sur la peur avec des adjectifs descriptifs et des expressions françaises pour désigner la peur et des attitudes liées à cette émotion.
Vous pouvez vous retrouver dans la situation où un de vos personnages éprouve de la peur tout en essayant de se contenir. Comment alors retranscrire la peur si vos personnages tentent de garder contenance ?
Comment décrire la peur sur un visage ou physiquement ? Ou bien encore ce qu’il se passe dans la tête de vos héros quand il craint une chose ?
De plus, la peur ne s’exprimera pas de la même manière chez un adulte ou chez un enfant, sur une créature mystique ou un humain.
Les manifestations physiques de la peur sont les suivantes. Souvent quand on a peur, le corps se fige, on n’ose plus bouger. Ou bien, à l’inverse, on fuit le plus vite possible !
Se raidir
S’immobiliser
Frémir
Frissonner
Trembler
Reculer
Prendre les jambes à son cou
Avec la peur, chaque partie du corps humain réagit à sa propre manière :
Avoir des sueurs froides
Avoir la chair de poule
Avoir la gorge sèche
Avoir les cheveux dressés sur la tête,
Avoir le cœur qui bat la chamade,
Avoir les jambes coupées,
Avoir les jambes en coton,
Avoir les mains moites,
Claquer des dents
Contraction des mâchoires
Être glacé d’épouvante
Les poils se hérissent
Respiration bloquée
Transpiration intense
Le visage devient pâle, il blêmit. Voici quelques expressions, adjectifs et verbes français pour décrire la peur sur un visage.
Blêmir
Bleuir
Être/devenir livide
Être blanc comme un linge
Être pâle comme la mort
Pâlir
Se décomposer
Verdir
La voix peut aussi traduire la peur dans vos descriptions. Quand on a peur, on peut être sans voix, ou bien hurler de toutes ses forces. La voix est également transformée sous le coup de l’émotion.
avoir le souffle coupé
avoir une voix blanche
être muet de terreur,
Hurler de terreur
rester sans voix
La voix d’une personne qui a peur peut être :
criarde,
rauque,
étranglée.
Aussi, vous pouvez décrire la manière de parler d’une personne qui a peur. Si on n’a pas la voix coupée, on peut s’exprimer très vite ou bien avoir du mal à parler. Si votre mâchoire est contractée par le stress par exemple, il se peut que vous ayez du mal à articuler.
Si on a peur, on peut :
bégayer
hacher ses mots, ses phrases
parler d’une voix angoissée
parler d’une voix précipitée
parler d’une voix saccadée
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